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Le temps des cerises

Montand Ives

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Duration:
4m 44s
Title on Youtube:
Yves Montand - Le temps des cerises
Description on Youtube:
Le Temps des cerises is a song written in France in 1866, with words by Jean-Baptiste Clément and music by Antoine Renard. The song is strongly associated with theParis Commune. It is believed to be dedicated by the writer to a nurse who was killed in theSemaine Sanglante ("Bloody Week") when French government troops overthrew the commune.[1]. Lyrics There are many versions of the original lyrics, but the following is the version popularised by the singerYves Montand, with possible variants given in parentheses: Quand nous chanterons le temps des cerises (Quand nous en serons au temps des cerises) Et gai rossignol et merle moqueur Seront tous en fête Les belles auront la folie en tête Et les amoureux du soleil au cœur Quand nous chanterons le temps des cerises Sifflera bien mieux le merle moqueur Mais il est bien court le temps des cerises Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant Des pendants d'oreille... Cerises d'amour aux robes pareilles (vermeilles) Tombant sous la feuille (mousse) en gouttes de sang... Mais il est bien court le temps des cerises Pendants de corail qu'on cueille en rêvant ! Quand vous en serez au temps des cerises Si vous avez peur des chagrins d'amour Évitez les belles ! Moi qui ne crains pas les peines cruelles Je ne vivrai pas sans souffrir un jour... Quand vous en serez au temps des cerises Vous aurez aussi des chagrins (peines) d'amour ! J'aimerai toujours le temps des cerises C'est de ce temps-là que je garde au cœur Une plaie ouverte ! Et Dame Fortune, en m'étant offerte Ne pourra jamais calmer (fermer) ma douleur... J'aimerai toujours le temps des cerises Et le souvenir que je garde au cœur ! References ^ A ce propos citons Louise Michel dans La Commune Histoire et souvenirs (1898): Au moment où vont partir leurs derniers coups, une jeune fille venant de la barricade de la rue Saint-Maur arrive, leur offrant ses services : ils voulaient l'éloigner de cet endroit de mort, elle resta malgré eux. Quelques instants après, la barricade jetant en une formidable explosion tout ce qui lui restait de mitraille mourut dans cette décharge énorme, que nous entendîmes deSatory, ceux qui étaient prisonniers ; à l'ambulancière de la dernière barricade et de la dernière heure, J.-B. Clément dédia longtemps après la chanson des cerises. - Personne ne la revit.[...] La Commune était morte, ensevelissant avec elle des milliers de héros inconnus.